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Auteur : Daniel Billy

Les défis de la matrice d’Eisenhower

[et_pb_section fb_built= »1″ theme_builder_area= »post_content » _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default »][et_pb_row _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_column _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » type= »4_4″ theme_builder_area= »post_content »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″ border_width_all= »1px » custom_margin= »||25px||| »] La matrice d’Eisenhower ou matrice des priorités est un incontournable de la gestion du temps. Si elle est simple à comprendre, son application au quotidien demeure un défi. On vous explique. 1. Matrice d’Eisenhower : comment définir les urgences vraiment importantes ? 2. Comment planifier les tâches du cadran B selon la matrice d’Eisenhower ? 3. Le défi du cadran C : ne pas se laisser envahir ! 4. La matrice d’Eisenhower laisse-t-elle du temps pour les tâches du cadran D ? Pour se servir de la matrice d’Eisenhower, il suffit de classer toutes vos tâches à faire dans les 4 cadrans dessinés par les 2 axes Urgence et Importance. Les tâches qui sont d’importance haute et de forte urgence, celles qui sont dans le cadran A , le challenge est de traquer la vérité. Pour celles qui sont d’importance mais d’urgence plus faible, le mot d’ordre est de planifier et de s’y tenir. Quant aux tâches de forte urgence mais de faible importance, attention à ne pas vous laisser envahir. Enfin, les missions d’importance faible et de faible urgence sont à consommer avec modération. Tout l’enjeu est de classer vos tâches au bon endroit. [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » border_width_all= »1px » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″ custom_margin= »|0px|||false|false » custom_padding= »|20px|||false|false »] 1. Matrice d’Eisenhower : comment définir les urgences vraiment importantes ? C’est le cadran de l’adrénaline. Il faut agir immédiatement et vite ! Certes. C’est indiscutable. Oui, mais… Avons-nous vraiment toujours affaire à de vraies urgences vraiment importantes ? Pour le savoir, posons nous 3 séries de questions : L’action à réaliser a-t-elle un impact majeur sur la satisfaction client ? sur la santé financière de l’entreprise ? sur son image ? sur les obligations légales qu’elle doit remplir ? Quel est le risque à ne pas réaliser cette action immédiatement ? Y a-t-il un risque sur la sécurité des personnes ? Un risque de perte de clientèle ? Un risque financier ? Juridique ? Que devient ce risque si l’action est réalisée la semaine prochaine plutôt qu’aujourd’hui ? Dans 2 jours ? Demain ? Dans deux heures ou même une heure ? Enfin, quelle est notre part de responsabilité dans l’accumulation de tâches en cadran A ? Quelles sont celles que nous aurions pu anticiper ? Les réponses à ces questions peuvent nous redonner un peu de marge de manœuvre pour arbitrer en faveur d’une tâche de cadran B moins urgente mais à plus fort enjeu. Sinon, nous risquons de tomber dans le cercle vicieux de la matrice emballée : les tâches de cadran B sont continuellement reportées et traitées au pied du mur, en cadran A. [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » border_width_all= »1px » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″ custom_padding= »|20px|||false|false »]   2. Comment planifier les tâches du cadran B selon la matrice d’Eisenhower ? Les tâches du cadran B méritent toute notre attention, car elles sont importantes mais moins urgentes. C’est en les anticipant que nous redonnons de la souplesse à notre agenda – et gagnons en sérénité. Or, ce sont souvent des tâches délicates ou des problèmes complexes qui méritent un temps réflexion long, peu compatible avec des urgences qui tombent à rythme soutenu. Voici une liste de bonnes pratiques pour les privilégier et les protéger : Découper les tâches longues en sous-objectifs susceptibles de tenir dans un format court : 45′ à 1h30 maximum. Planifier dans l’agenda des rendez-vous avec nous-mêmes pour les traiter, de préférence le matin avant d’ouvrir la boîte mail. Indiquer en clair l’objectif de chaque séquence sous forme de livrable concret. Fermer mail, téléphone et indiquer aux collègues que nous devons nous concentrer. Si possible, télétravailler ou s’isoler dans une petite salle à dispositions. Et bien sûr, résister à l’invasion des tâches du cadran C. [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » border_width_all= »1px » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″ custom_padding= »|20px|||false|false »] 3. Le défi du cadran C : ne pas se laisser envahir ! C’est sans doute le plus grand défi de cette matrice, celle qui trace la « diagonale du fou » B-C. Elle représente notre plus gros dilemme : faut-il privilégier une urgence moins importante à une tâche importante mais moins urgente ? La réponse est non. Intellectuellement, nous le comprenons. Psychiquement et presque physiologiquement, c’est une autre affaire. La notion d’urgence déclenche le réflexe irrépressible de tout lâcher pour nous en occuper. D’où l’importance de nous isoler pour protéger nos tâches de cadran B. Pour résister à l’envahisseur, nous pouvons aussi adopter d’autres réflexes : Répondre à toute sollicitation par « oui et ». Extrait de dialogue : « je peux te voir 5 minutes ? » – « oui bien sûr, à 11h ». Le bénéfice de cette méthode est immédiat. Entendant le oui, le solliciteur est rassuré. Il accepte dans 80 % des cas de reporter notre entretien… lorsque nous aurons fini cette tâche de cadran B en cours. Réserver systématiquement dans l’agenda des plages de disponibilité – une à deux par jour – pour canaliser lesdites sollicitations et traiter les vraies urgences en toute sérénité. À chaque nouvelle demande, nous interroger : « qui d’autre ? » pourrait réaliser cette tâche mieux et plus rapidement ? Oser refuser tout simplement avec un « non je ne peux pas » les tâches qui sont vraiment trop en marge de notre mission. Négocier le périmètre du livrable à fournir, redonner au solliciteur une part du travail à accomplir. Rappeler gentiment les règles du travail collectif à ceux qui n’anticipent jamais…et négocier encore plus durement avec eux. Traiter en profondeur les urgences récurrentes : inscrire dans le cadran B, par exemple, de mettre à la disposition des collègues un tutoriel pour qu’ils soient autonomes. Évidemment, ça ne marche pas à tous les coups. Mais cela permet d’alléger considérablement le poids du cadran C au profit du cadran B. [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » border_width_all= »1px » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″ custom_padding= »|20px|||false|false »] 4. La matrice d’Eisenhower laisse-t-elle du temps pour les tâches du cadran D ? Le général Eisenhower jetait sans état d’âme tout le contenu de ce cadran à la poubelle. Mais dans le monde professionnel d’aujourd’hui, une partie des tâches du cadran D sont nécessaires mais sans contribution directe à notre cœur de mission. Ce sont les tâches

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Formation

Formation professionnelle continue

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_row _builder_version= »4.16″ background_color= »#00208a » background_image= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2019/05/FondBlog.png » parallax= »on » module_alignment= »center » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_image align= »center » _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version= »4.16″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#ffffff » text_font_size= »16px » text_orientation= »center » global_colors_info= »{} »] Veille légale et réglementaire sur le champ de la formation professionnelle Veille sur les évolutions des compétences, des métiers et des emplois Veille sur les innovations pédagogiques et technologiques [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.16″ background_color= »#d2e4f9″ global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.2″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ text_font_size= »17px » text_line_height= »1.8em » text_orientation= »justified » custom_margin= »|20%||20%|false|false » global_colors_info= »{} »] La formation professionnelle est un outil majeur à la disposition de tous les actifs : salariés, indépendants, chefs d’entreprise ou demandeurs d’emploi. Elle permet de se former tout au long de son parcours professionnel, pour développer ses compétences et accéder à l’emploi, se maintenir dans l’emploi ou encore changer d’emploi. [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.2″ text_font= »|300||||||| » text_font_size= »17px » header_2_font= »|||||on||| » header_2_text_color= »#e02b20″ header_2_font_size= »28px » background_color= »#D6D6D6″ custom_margin= »|20%||20%|false|false » custom_padding= »5%||5%||false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″] veille légale et réglementaire sur le champ de la formation professionnelle   Formalerte Edition TISSOT France Compétence Formation Professionnelle – Le Mag Lefebvre Dalloz Compétences   [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#ffffff » text_font_size= »18px » header_2_font= »|||||on||| » header_2_text_color= »#e02b20″ header_2_font_size= »28px » background_color= »#D6D6D6″ custom_margin= »|20%||20%|false|false » custom_padding= »5%||5%||false|false » global_colors_info= »{} »] Veille sur les évolutions des compétences, des métiers et des emplois   transformation.gouv.fr gouvernement.fr legifrance.gouv.fr service public.fr france.fr Data.gouv.fr [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#ffffff » text_font_size= »18px » header_2_font= »|||||on||| » header_2_text_color= »#e02b20″ header_2_font_size= »28px » background_color= »#D6D6D6″ custom_margin= »|20%||20%|false|false » custom_padding= »5%||5%||false|false » global_colors_info= »{} »] veille sur les innovations pédagogiques et technologiques   Scoop.it [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

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Des défis à relever

Pratiquez l’analyse financière

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#8f8f8f »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »|25px||30px|false|false »] Comment extraire des informations pertinentes des états financiers et les interpréter pour en retirer de précieux enseignements sur l’état de santé d’une entreprise et de son potentiel de développement ? Voici ce qu’il faut savoir sur l’analyse financière d’une entreprise. L’analyse financière permet de comprendre l’entreprise au travers de l’information comptable et de ses états financiers. Elle doit permettre de juger de la performance et de la situation financière d’une entreprise. Cet objectif va bien au-delà de la seule analyse de l’information comptable. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.3.4″ background_enable_image= »off » background_size= »contain »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ header_2_text_color= »#e01f45″ custom_margin= »|||10%|false|false » custom_padding= »|||8px|false|false »] Qui sont les utilisateurs de l’analyse financière ? En-dehors de la performance et de la situation financière, l’analyse financière est utilisée dans le cadre d’un certain nombre d’opérations qui peuvent être des opérations : de financement ; de rachat ; de reprise ; d’introduction en bourse. Ses utilisateurs n’ont pas la même vision ni la même préoccupation. Les investisseurs souhaitent s’assurer de la rentabilité financière de l’entreprise avant d’investir. La banque souhaite s’assurer de la capacité de l’entreprise à rembourser ses engagements (emprunt par exemple) avant de prêter. Le chef d’entreprise souhaite s’assurer de la santé financière de son entreprise et sa capacité à générer de la rentabilité. Le repreneur veut s’assurer de la viabilité de l’entreprise et de ses perspectives d’évolution [/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/Gerer-le-stress-durablement-efficacite.png » _builder_version= »4.3.4″ transform_scale= »106%|106% » custom_margin= »19%||||false|false »][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/Objectifs_recherches.png » _builder_version= »4.3.4″ width= »69% » module_alignment= »center » custom_margin= »2%|0px||0px|false|false » custom_padding= »|0px||22%|false|false »][/et_pb_image][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Quelle est la démarche à suivre pour faire une analyse  efficace ? La démarche d’analyse financière passe généralement par deux étapes d’analyse : les éléments qualitatifs ; les éléments quantitatifs. L’analyse des éléments qualitatifs consiste à recueillir et analyser les informations économiques et stratégiques. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#d6d6d6″ custom_padding= »||15px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Recueillir et analyser les informations économiques et stratégiques Ici, la première étape consiste à identifier les informations stratégiques de l’entreprise. Il s’agit de mieux comprendre l’environnement interne et externe de l’entreprise. L’analyse de l’environnement externe de l’entreprise passe principalement par l’étude de la situation de l’entreprise par rapport à son marché. Les éléments essentiels à analyser dans cette étape sont : le secteur économique de l’entreprise et les pratiques existantes sur son marché l’analyse de la concurrence ses fournisseurs sa clientèle cible la réglementation l’environnement technologique de l’entreprise. L’analyse de la concurrence peut englober les prix pratiqués, les facteurs de différenciation, les parts de marché des concurrents ou encore la concentration des entreprises. Du côté des fournisseurs et des clients, on étudiera : les délais de paiement ; l’évolution des produits et des services proposés ; le pouvoir de négociation des fournisseurs ; la composition de la clientèle ; les habitudes de la clientèle ; etc. ; L’analyse de la réglementation permet de tenir compte des règles d’hygiène, de sécurité, de protection de l’environnement, de respect des droits des salariés, etc. L’analyse de l’environnement interne de l’entreprise permet de comprendre sa performance. Les éléments essentiels à analyser dans cette étape sont : les produits et services proposés : l’attractivité et le positionnement du produit par rapport à ce que propose la concurrence, le mode de distribution, etc. ; sa performance : ses points forts et ses points faibles (par la matrice SWOT) ; sa position géographique : il est important de comprendre les raisons pour lesquelles l’entreprise est implantée dans telle ou telle zone (cette zone est-elle optimale pour l’exercice de son activité ?) ; ses moyens et ses ressources (technologie utilisée, ressources financières disponibles, etc.). [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »5px||3px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/Bureautique.png » _builder_version= »4.3.4″][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »||23px||| »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Analyser les états financiers de l’entreprise La deuxième étape consiste à étudier la partie chiffrée de l’entreprise à savoir ses états financiers. Ses principaux objectifs : comprendre comment l’entreprise crée de la valeur (est-elle rentable ?) ;  comprendre sa structure financière (dettes, capitaux propres) ; comprendre la composition de ses actifs (détail des immobilisations, etc.). Nous citons l’essentiel des éléments à étudier pour une analyse financière efficace. [/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Analyse de l’activité de l’entreprise L’analyse de l’activité de l’entreprise constitue le point de départ du diagnostic financier, elle consiste à apprécier la croissance de l’entreprise (chiffre d’affaires, effectif, structure des charges, etc.), et sa capacité à dégager des profits (marge), etc. Cette analyse peut être faite par l’étude des états financiers suivants :   compte de résultat de l’entreprise ; les soldes intermédiaires de gestion (SIG) ; le détail des comptes, etc. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#b3b3b3″ background_image= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/IMAGEFOND1.jpg » custom_padding= »13px||16px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »0px|||28px|false|false » custom_padding= »0px||1%||false|false » link_option_url= »www.masterformation.gf » link_option_url_new_window= »on »] Trouvez la solution de formation adaptée à vos besoins [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#b3b3b3″ custom_margin= »21px|||-2px|false|false » custom_padding= »|0px||30px|false|false »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »||||false|false » custom_padding= »|27px|||false|false »] Les éléments essentiels à analyser dans cette étape analyse de l’évolution du chiffre d’affaires et de sa répartition : % d’évolution (baisse, stagnation ou croissance) et causes de l’évolution (effet prix-volume, effet mix, effet périmètre, et change, etc.) et la comparaison de celui-ci avec les entreprises concurrentes du secteur. analyse de la marge : taux de marge commerciale, taux de marge brute, sont-elles conformes aux moyennes du secteur analyse de la variation de la masse salariale : effet d’effectif, de structure, effet de noria et de turn-over. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_enable_image= »off » custom_padding= »27px||||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Analyse de la rentabilité Il s’agit ici d’étudier la rentabilité économique et financière de l’entreprise, mais aussi les raisons de la variation du résultat. L’analyse peut être faite à partir du compte de résultat de l’entreprise et du bilan comptable.     Dans cette étape plusieurs éléments peuvent être analysés analyse de résultat net de l’entreprise : l’entreprise réalise-t-elle des bénéfices ou plutôt des pertes, analyse de l’évolution historique du résultat par l’évolution des produits et des charges (effet de ciseaux, effet point mort, l’effet absorption des charges fixes, et seuil de rentabilité) ; analyse de la rentabilité économique : le rapport entre les ressources de l’entreprise et ses résultats et son évolution par rapport au secteur ; analyse de la rentabilité financière : le rapport entre le résultat net de l’entreprise et ses capitaux propres et son évolution par rapport au secteur.     L’analyse de l’équilibre financier

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Des défis à relever

L’inventaire en comptabilité… À quoi ça sert  ?

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#8f8f8f »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »|25px||30px|false|false »] L’article L 123-12 du Code de commerce rend obligatoire l’inventaire pour l’ensemble des entreprises des secteurs marchands non agricoles. Ainsi, tous les ans, en date du 31 décembre, des millions d’entreprises procèdent au recensement des produits finis, semi-finis et matières premières qu’elles joignent à leur bilan comptable. En quoi cet inventaire est-il utile ? Quand doit-il être réalisé et quelles sont les clés de l’inventaire comptable ? Fastmag vous dit tout de cette obligation légale. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ header_2_text_color= »#e01f45″ custom_margin= »|||10%|false|false » custom_padding= »|||8px|false|false »] Quelle est l’utilité d’un inventaire comptable ? À la fin de chaque année, au 31 décembre, on procède à l’inventaire comptable de l’entreprise. Cet inventaire répertorie : Les éléments comptables classiques, comme les biens immobiliers ou mobiliers de l’entreprise, les créances, les dettes… Les éléments physiquement stockés pour fabriquer (matières premières, par exemple) ainsi que les produits finis et semi-finis Ainsi, en cas de contrôle fiscal, l’entreprise est à même de prouver l’existence de son patrimoine et qu’elle en est bien la propriétaire. Par ailleurs, en cas de revente, cet inventaire matériel et immatériel participe à sa valorisation globale et donne une grande variété d’indicateurs de performance à ses potentiels acquéreurs. Il est donc essentiel que son inventaire comptable soit parfaitement juste. [/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2019/05/MasterFormation-illustration.png » _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »45%||||false|false »][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/stock.jpg » _builder_version= »4.3.4″ width= »69% » module_alignment= »center » custom_margin= »54px||||false|false »][/et_pb_image][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Contrôle du stock théorique et du stock physique Après comptage des éléments physiques, on croise les données récoltées et consignées sur les fiches d’inventaire avec le stock théorique, consigné dans les livres de comptabilité de l’entreprise.Dans le cadre d’une bonne gestion de stocks, il peut y avoir quelques écarts dus principalement à la démarque connue (casse, invendus à la technologie dépassée…). Cela s’explique.En cas de mauvaise tenue des stocks ou de vol, l’entreprise peut être amenée à constater des écarts qui peuvent être très importants. Il convient alors de repenser sa gestion des stocks, sans doute en l’informatisant et en faisant plus régulièrement des inventaires durant l’exercice comptable. En effet, des écarts répétés sont des indicateurs négatifs qui peuvent la pénaliser à moyen et long terme. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#d6d6d6″ custom_margin= »||||false|false »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »|||3%|false|false »] Quelle est la méthodologie d’un inventaire comptable ? Les travaux d’inventaire comptable suivent une méthode qui ne diffère quasiment pas d’une entreprise à une autre. Ils se caractérisent par la succession de cinq phases : la préparation des travaux d’inventaire, la réalisation d’un inventaire matériel, la valorisation de l’inventaire, l’ajustement des différents postes comptables et la comptabilisation des différents impôts. Bien préparer la fin d’exercice et ses travaux d’inventaire Avant même l’arrivée de la fin de l’exercice comptable, l’entreprise doit correctement préparer ses travaux d’inventaire comptables, également connus sous le nom de travaux de clôture de l’exercice. Cela consiste à saisir l’ensemble des pièces justificatives de l’exercice comptable : factures d’achat, factures de ventes, comptabilisation des charges de personnel, comptabilisation des déclarations de T.V.A. Il est également essentiel d’éditer une balance comptable provisoire avant l’inventaire physique afin de pouvoir l’annoter durant les travaux de révision qui commencent par le rapprochement des montants présents sur les balances auxiliaires et grands-livres auxiliaires (clients et fournisseurs) avec ceux présents sur la balance générale (compte 411 et 401). Ces contrôles faits, on finit le lettrage des comptes de tiers clients et fournisseurs. Puis, on procède à une « prérévision ». [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »5px||3px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/Bureautique.png » _builder_version= »4.3.4″][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »||23px||| »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Réaliser son inventaire matériel Comme nous l’avons déjà vu, l’inventaire matériel comptable s’attache à contrôler l’existence des éléments d’actifs et de passifs de l’entreprise. Immobilisations L’inventaire des immobilisations permet d’identifier les biens sortis du patrimoine de l’entreprise à la suite d’une cession ou d’une mise au rebut. Il génère des écritures de sorties d’immobilisations et une comptabilisation des dotations aux amortissements ; Comptes de trésorerie, clients et fournisseurs On procède à la vérification des comptes, notamment de certains soldes de comptes de tiers (clients et fournisseurs). Soldes bancaires Un rapprochement bancaire est toujours nécessaire, particulièrement si le solde du dernier relevé ne coïncide pas avec celui du compte « Banque » en comptabilité. [/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″] Les postes comptables et de résultat On y contrôle la séparation nette opérée entre les exercices. En effet, les charges et les produits qui sont portés dans le compte de résultat d’un exercice doivent être en rapport à ce dernier. On distingue donc : Les produits et les charges de l’exercice comptable en cours, mais courant au-delà de ce dernier (dits constatés d’avance) Les produits et les charges de l’exercice comptable suivant, mais concernant celui en cours (factures à établir ou non parvenues, par exemple). Par ailleurs, il est aussi nécessaire d’ajuster les créances et dettes en devise, de provisionner les charges sociales et congés payés de ses salariés… Toutes ces écritures sont nommées écritures comptables de régularisation. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#b3b3b3″ background_image= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2021/09/IMAGEFOND1.jpg » custom_padding= »13px||16px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »0px|||28px|false|false » custom_padding= »0px||1%||false|false » link_option_url= »www.masterformation.gf » link_option_url_new_window= »on »] Trouvez la solution de formation adaptée à vos besoins [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ background_color= »#b3b3b3″ custom_margin= »21px|||-2px|false|false » custom_padding= »|0px||30px|false|false »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ custom_margin= »||||false|false » custom_padding= »|27px|||false|false »] Comptabiliser les différents impôts Grâce à la saisie des écritures d’inventaire, l’entreprise est à même d’évaluer et provisionner certains impôts comme la TVA, la Contribution sur la Valeur ajoutée des Entreprises (CVAE), la taxe sur les véhicules de tourisme (TVS), etc. À la fin des cinq étapes, l’entreprise dispose d’une balance définitive qui peut être éditée en vue de l’établissement des comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe). [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »27px||||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ hover_enabled= »0″] Comptabiliser les différents impôts Grâce à la saisie des écritures d’inventaire, l’entreprise est à même d’évaluer et provisionner certains impôts comme la TVA, la Contribution sur la Valeur ajoutée des Entreprises (CVAE), la taxe sur les véhicules de tourisme (TVS), etc. À la fin des cinq étapes, l’entreprise dispose d’une balance définitive qui peut être éditée en vue de l’établissement des comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe). Quelle période est à privilégier pour réaliser son inventaire ? Il n’existe pas de contrainte du législateur pour les dates d’inventaire. L’organisation de ce

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Excel partie 8 : Formules matricielles

[et_pb_section fb_built= »1″ admin_label= »section » _builder_version= »3.22″][et_pb_row admin_label= »row » _builder_version= »3.25″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.25″ custom_padding= »||| » custom_padding__hover= »||| »][et_pb_text admin_label= »Text » _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ text_font_size= »15px » header_2_font= »|300||||||| » header_2_text_color= »#e09900″ header_2_font_size= »27px » background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat »] Instructions et exemples de formules matricielles Une formule matricielle est une formule qui peut effectuer plusieurs calculs sur un ou plusieurs éléments d’un tableau. Vous pouvez considérer un tableau comme une ligne ou une colonne de valeurs, ou une combinaison de lignes et de colonnes de valeurs. Les formules matricielles peuvent renvoyer des résultats multiples ou un résultat unique. Les formules matricielles dynamiques, qu’elles utilisent des fonctions existantes ou les fonctions de tableau dynamique, ne doivent être entrées que dans une seule cellule, puis confirmées en appuyant sur entrée. Auparavant, les formules matricielles héritées nécessitent d’abord la sélection de la plage de sortie entière, puis la confirmation de la formule avec Ctrl + Maj + Entrée. Elles sont généralement appelées formules CSE . Vous pouvez utiliser des formules matricielles pour effectuer des tâches complexes, telles que : Créez rapidement des exemples de jeu de données. Compter le nombre de caractères contenus dans une plage de cellules. Additionner uniquement les nombres qui remplissent certaines conditions, telles que les valeurs les plus basses d’une plage ou les nombres compris entre une limite supérieure et une limite inférieure. Additionner chaque nième valeur dans une plage de valeurs. Les exemples suivants vous montrent comment créer des formules matricielles à cellule unique et à plusieurs cellules. Dans la mesure du possible, nous avons inclus des exemples illustrant certaines fonctions de matrice dynamique, ainsi que les formules matricielles existantes entrées à la fois sous forme de matrices dynamiques et héritées. Tableaux à cellule unique et à plusieurs cellules Cet exercice vous montre comment utiliser des formules de tableau à plusieurs cellules et à cellule unique pour calculer un ensemble de chiffres de vente. La première série d’étapes utilise une formule à plusieurs cellules pour calculer un ensemble de sous-totaux. La seconde série utilise une formule à cellule unique pour calculer un total général. Formule de tableau à plusieurs cellules   Dans cette section, nous allons calculer le total des ventes de coupés et de de de pour chaque vendeur en entrant = F10 : F19 * G10 : G19 dans la cellule H10. Lorsque vous appuyez sur entrée, les résultats sont affichés dans les cellules H10 : H19. Vous remarquerez que la plage de projection est mise en évidence avec une bordure lorsque vous sélectionnez une cellule dans la plage de projection. Vous remarquerez peut-être également que les formules dans les cellules H10 : H19 sont grisées. S’il s’agit d’une formule de référence, il vous faudra sélectionner la cellule H10, où se trouve la formule maîtresse. Formule matricielle à cellule unique Dans la cellule H20 de l’exemple de classeur, tapez ou copiez-collez somme (F10 : F19 * G10 : G19), puis appuyez sur entrée. Dans ce cas, Excel multiplie les valeurs du tableau (la plage de cellules de F10 à G19), puis utilise la fonction somme pour additionner les totaux. Le résultat produit un total général de 1 590 000 dollars de ventes. Cet exemple illustre la puissance de ce type de formule. Par exemple, supposons que vous disposez de 1000 lignes de données. Vous pouvez additionner tout ou partie de ces données en créant une formule de tableau dans une seule cellule au lieu de faire glisser la formule vers le bas sur les 1000 lignes. Notez également que la formule à cellule unique de la cellule H20 est entièrement indépendante de la formule à plusieurs cellules (formule dans les cellules H10 à H19). Cela révèle un autre avantage des formules de tableau : leur souplesse d’utilisation. Vous pouvez modifier les autres formules dans la colonne H sans affecter la formule dans H20. Il peut également être utile d’avoir des totaux indépendants comme celui-ci, car il permet de valider la précision de vos résultats. Les formules matricielles dynamiques présentent également les avantages suivants : Cohérence    Si vous cliquez sur l’une des cellules de H10 vers le bas, la même formule s’affiche. Cette cohérence peut être synonyme de plus grande précision. Sécurité    Vous ne pouvez pas remplacer un composant d’une formule de tableau à plusieurs cellules. Par exemple, cliquez sur H11 de cellule, puis appuyez sur SUPPR. Excel ne modifie pas la sortie du tableau. Pour le modifier, vous devez sélectionner la cellule située dans le coin supérieur gauche de la matrice ou la cellule H10. Fichiers de plus petite taille    Il est souvent possible d’utiliser une seule formule de tableau au lieu de plusieurs formules intermédiaires. Par exemple, l’exemple ventes de voitures utilise une formule matricielle pour calculer les résultats dans la colonne E. Si vous avez utilisé des formules standard, telles que G10, F11 * G11, F12 * G12, etc., vous avez utilisé 11 formules différentes pour calculer les mêmes résultats. Ce n’est pas une véritable affaire, mais si vous avez des milliers de lignes au total ? C’est alors qu’il peut s’avérer très important. Efficacité    Les fonctions matricielles peuvent faciliter la création de formules complexes. La formule matricielle = somme (F10 : F19 * G10 : G19) est la même que celle-ci : = somme (F10 * G10, F11 * G11, F12 * G12, F13 * G13, F14 * G14 F15 G15 F16 G16 F17 G17 F18 G18 F19 G19). Empiètent    Les formules matricielles dynamiques seront automatiquement propagées dans la plage de sortie. Si vos données sources se trouvent dans un tableau Excel, vos formules de tableau dynamique seront automatiquement redimensionnées lors de l’ajout ou de la suppression de données. Créer une constante de matrice à deux dimensions Les constantes de matrice sont un composant des formules matricielles. Vous pouvez créer des constantes de matrice en entrant une liste d’éléments et en mettant cette liste entre accolades ({ }), comme ceci : = {1, 2, 3, 4, 5} ou = {« January », « février », « mars »} Si vous séparez les éléments à l’aide de virgules, vous créez un tableau horizontal (une ligne). Si vous séparez les éléments à l’aide de points-virgules, vous créez un tableau vertical (une colonne). Pour créer un tableau à deux dimensions, séparez les éléments de chaque ligne par des virgules, puis délimitez chaque ligne

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Des outils à manier avec savoir faire

Word – La fonction Recherche et remplace avancée

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_video src_webm= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2020/09/5-Recherche-et-remplacement-avances-dans-Word.mp4″ thumbnail_overlay_color= »rgba(0,0,0,0.6) » _builder_version= »4.3.4″][/et_pb_video][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

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Des défis à relever

Maitriser son temps de travail et son organisation ( Partie 4)

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »||13px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#ffffff » header_font_size= »26px » background_color= »#88c4dd » text_orientation= »justified » custom_padding= »26px|47px||26px|false|false »] Passer de l’objectif à l’action. Une fois un objectif correctement formalise, il s’est agit de le rendre concret : C’est le passage délicat de l’objectif l’action. Utilisation de la technique « Mind Mapping » Définition D’après les scientifiques, notre cerveau se compose de deux parties qui fonctionnent en indépendamment l’une de l’autre : l’hémisphère gauche, l’hémisphère droit. La technique du Mind Mapping réunit les deux hémisphères du cerveau et vous permet de l’utiliser afin de transcrire toutes vos pensées de manière créative. C’est un nouveau moyen d’analyser notre intelligence qui peut servir absolument à tout le monde. Il nous offre des façons passionnantes d’utiliser et d’améliorer la mémoire, la concentration et la créativité en planifiant et structurant la pensée a tous les niveaux. Les cartes réalisées lors du Mind Mapping reproduisent l’architecture naturelle du cerveau. Leur structure permet l’exploration d’une idée sous forme de notes. On obtient ainsi une représentation claire et concise ou une « carte » de tous les éléments importants qui pourront être inclus dans des rapports ultérieurs. On peut ainsi explorer une idée rapidement et en profondeur tout en maintenant toute son attention sur le thème principal. En incorporant l’utilisation des formes, de couleurs et de dimensions comme stimulations visuelles, la technique du Mind Mapping vous permet d’utiliser au mieux les ressources mentales considérables de votre hémisphère droit. Le Mind est une technique proche du « brainstorming » et les règles en sont exactement les mêmes. Lors d’un « brainstorming », il n’y a en fait pas de règles et toutes les suggestions sont encouragées,     La conception d’un plan d’action La seconde étape a pour but de définir l’itinéraire pour atteindre l’objectif par l’élaboration d’un plan d’action ; Le plan d’action doit répondre aux questions : Du quoi ? Quand ? Avec quoi ? Comment ? Pour obtenir le résultat prévu. Cependant, un plan d’action c’est comme la météo, il est utile, bien qu’il ne garantisse pas à 100% ce qui va se passer. La conception de vos plans de réalisation d’objectifs comprend six étapes : La détermination de toutes les actions majeures à entreprendre : Le classement chronologique des différentes actions répertoriées La définition des durées de chaque opération L’affectation dans le temps de la réalisation des cations en déterminant des échéances L’identification des moyens et des ressources nécessaires à la réalisation ; L’identification des critères et/ou des modalités de contrôle ou d’analyse de résultats intermédiaires. Le plan d’action sert de gouvernail. Il permet de préciser : « Ou je vais » avant l’action « Ou j’en suis » pendant l’action. Il est utile également pour repérer les points critiques, les étapes à risques, à enjeux, là où il convient d’être particulièrement vigilant, d’envisager des solutions de rechange et de mettre en œuvre des actions préventives.   Attention cependant à deux écueils ! La rigidité : ce qui a été défini à un moment donné peut être remis en question quelque temps plus tard. Des opportunités nouvelles peuvent se présenter, des difficultés non prévues peuvent surgir. Loi de Murphy Chaque chose prend plus de temps qu’on se l’imaginerait au départ et si une difficulté doit se présenter, elle se présentera. « Rien n’est aussi simple qu’il n’y paraît » Si notre efficacité est liée à notre capacité de définir une ligne d’action, elle dépend également de notre flexibilité et de notre vitesse de réaction, d’adaptation à un environnement incertain. La perte de temps : planifier ne signifie pas sombrer dans le détail. Votre plan d’action doit contenir les aspects clés sans aller jusqu’aux opérations élémentaires (tâches).     [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.3.4″ custom_padding= »10px||||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.3.4″][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#e09900″ header_font_size= »26px » background_color= »#d6d6d6″ text_orientation= »justified » custom_padding= »41px|25px||30px|false|false »] Définir ses priorités pour guider ses choix Importance et urgence: Il est nécessaire d’abord de préciser les notions d’urgences et d’importance. Définition : Urgence : pression extérieure sur laquelle on ne peut exercer d’action. L’urgent peut se définir comme quelque chose « qui ne peut être différé, qu’il est nécessaire de faire tout de suite » (Petit Larousse), qui doit engendrer une action immédiate, une action rapide. Important : Jugement que l’on porte en fonction de critères préalablement définis. L’important, « c’est ce qui est considérable en valeur » (Petit Larousse), vital, impératif parce qu’ayant des répercussions de poids. Définir l’important, c’est déterminer ses priorités, ce qui compte plus que tout, ce qui est essentiel à notre réussite dans notre vie et dans notre fonction. Les principes Eisenhower et priorité ABC. Eisenhower était le chef suprême des Forces alliées au cours du débarquement en Normandie en 1944. Ce projet impliquait une organisation et une planification d’énorme envergure et concernait des milliers d’unités aériennes et terrestres qui devaient être coordonnées et organisées. On raconte qu’Eisenhower déclara au cours d’une des séances de planification : « Ne m’interrompez pas, sauf pour une raison a la fois importante et urgente ». C’est pourquoi nous avons appelé la matrice de gestion du temps le Principe d’Eisenhower.   La loi des 20/80 La loi des 20/80 mise au jour par l’économiste Italien Pareto s’applique à de nombreux domaines. Dans la banque, par exemple, 20 % des clients constituent environ 80 % des dépôts. Pour la gestion du temps, le principe est valable également : globalement, 20 % de notre temps produit 80 % de nos résultats. Nous passons beaucoup de temps à des tâches secondaires et nous consommons peu pour l’essentiel. Finalement, une part importante de notre énergie est gaspillée dans l’accessoire. Quand tout est urgent, quand tout est important, plus rien ne l’est « Dans ce que je fais, tout est urgent, tout est important. » Cette réflexion est souvent entendue en séminaire. Elle provient d’une carence dans la détermination des priorités si bien qu’il devient impossible de hiérarchiser ses tâches. Ne devraient être considérées comme urgentes que les activités dont les caractéristiques sont similaires aux interventions des pompiers ou du SAMU. Si elles ne sont pas réalisées, ils en découlent des dommages graves, des effets irrécupérables. Or, trop souvent, urgence rime avec futilité. Il y a de vraie urgence mais beaucoup de gens presses. Tous les jours, nous subissons de nombreuses sollicitations à caractère « urgent », « très urgent », « hyper urgent » qui nous incitent à

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De l’analyse transactionnelle à la l’action transactionnelle

[et_pb_section fb_built= »1″ admin_label= »section » _builder_version= »3.22″][et_pb_row admin_label= »row » _builder_version= »3.25″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.25″ custom_padding= »||| » custom_padding__hover= »||| »][et_pb_text admin_label= »LES BESOINS DE BASE » _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ text_font_size= »15px » header_3_font= »|300||||||| » header_3_text_color= »#e09900″ header_3_font_size= »24px » background_color= »#d6d6d6″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » custom_padding= »|7%||5%|false|false »]   LES BESOINS DE BASE Éric Berne, psychiatre américain, fondateur de l’analyse transactionnelle a introduit dans son livre « Analyse Transactionnelle et Psychothérapie » l’esquisse d’un système cohérent de psychiatrie individuelle et sociale. L’AT est une théorie permettant d’analyser les dynamiques intrapsychiques (ce qui se vit dans le psychisme de la personne) et les dynamiques interpersonnelles (ce qui se vit dans les relations). Il en découle 4 champs d’application : le conseil, l’éducation, la psychothérapie, l’organisation. L’AT est une approche contractuelle. Pour Éric Berne, ce sont les gens qui décident de leur destinée et ces décisions peuvent être changées. Pour cette raison, il passait des contrats avec ses patients qui les engageaient à se mobiliser pour changer et guérir. Cette pratique contractuelle est encore au cœur des accompagnements en AT, quel que soit le champ. [/et_pb_text][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2020/09/AT1.png » align= »center » _builder_version= »4.3.4″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_3_font= »|300||||||| » header_3_text_color= »#e09900″ background_color= »#d6d6d6″ custom_padding= »|||50px|false|false »]     LA BASE DE LA THÉORIE   Un postulat : Les gens sont nés OK, c’est à dire que chaque être humain a de la valeur, et de l’importance. Un modèle : Fondé sur les 3 états du moi, Parent, Adulte, Enfant. Des lois : Les 3 lois de la communication relatives aux échanges nommés Transactions. Une dynamique : Le besoin de signes de reconnaissance commun et nécessaire à toute personne.     [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_3_font= »|300||||||| » header_3_text_color= »#e09900″ background_color= »#d6d6d6″ custom_padding= »|8%||6%|false|false »] LES 3 SOIFS FONDAMENTALES   La soif de stimulation La soif de reconnaissance La soif de structure   Pour survivre, l’être humain est confronté à la nécessité de satisfaire ses soifs fondamentales, il va, en conséquence, utiliser une grande partie de son temps et de son énergie pour y parvenir. Que nous en ayons conscience ou non, notre activité quotidienne, pour une bonne part, est orientée vers la satisfaction de ces trois soifs. Connaître nos besoins nous permet de satisfaire nos soifs avec plus d’efficacité. Ainsi réussissons-nous à nous maintenir en bonne santé psychique et physique. La soif de stimulation Dès sa naissance, l’enfant reçoit de nombreuses stimulations de toutes sortes : il est touché, nourri, manipulé, caressé, il sent les parfums, entend des sons, voit lumières et ombres, il goûte le lait. Il entre en contact avec le monde par ses cinq sens. Les sensations fortes, devenues perceptions, vont accompagner son évolution et son développement tout au long de sa vie. La personne satisfait sa soif de stimulations en utilisant ses cinq sens, au contact des autres et de l’environnement. La soif de reconnaissance La soif de reconnaissance correspond au besoin de l’individu d’être accepté et reconnu par les autres, comme étant un être humain singulier, spécifique, mais aussi semblable aux autres. Les signes des reconnaissances permettent de développer une bonne image de soi, et un équilibre psychique. Pour en obtenir, les personnes recherchent le contact, les relations sociales. Dans son livre « Que dîtes-vous après avoir dit bonjour ? » Eric Berne explique la manière que nous avons d’entrer en contact et en relation avec les autres. Ce besoin de reconnaissance est si profond et vital que certaines personnes préfèreront des signes de reconnaissance négatifs, dévalorisants, que pas de signe de reconnaissance. L’indifférence étant vécue comme insoutenable. La soif de structure Pour obtenir stimulation et reconnaissance, l’être humain a le besoin vital de structurer son temps. Entrer en relation structure le temps. Les gens sont prêts à payer pour que d’autres les aident à structurer leur temps et leur fournissent stimulations et reconnaissance. C’est ce que nous recherchons au contact des artistes. [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ text_font_size= »15px » header_3_font= »|300||||||| » header_3_text_align= »center » header_3_text_color= »#e09900″ custom_padding= »|9%||9%|false|false »] Comment structurons-nous notre temps ?   Il y a six manières de structurer son temps.  Les stimulations reçues s’intensifient au fur et à mesure de l’engagement dans la relation. En résumé, il est nécessaire de retenir que nous avons tous besoin des autres. Certains encore plus que d’autres mais nous avons tous un besoin fondamental de reconnaissance de la part de notre environnement. A défaut d’en recevoir, cela nous entraine dans des jeux psychologiques… » Le retrait. La personne utilise son temps pour être en contact avec elle-même, elle est avec les autres mais ne communique pas avec eux, et reste dans ses pensées Le rituel. La personne entre en relation avec les autres de façon stéréotypée. Elle utilise des formules simples et complémentaires : « bonjour, ça va ? » « Ça va, et vous ? ». Ce sont des habitudes culturelles. Le passe-temps. La personne passe le temps, elle échange des informations avec son interlocuteur, elle discute sans trop s’impliquer dans la relation. La conversation est balisée, elle se fait « toute seule », sur des sujets comme la météo ou le match de foot de la veille. L’activité. La personne instaure une relation qui est orientée vers une tâche à réaliser ensemble. La conversation, les gestes sont dédiés à cette réalisation : « passe-moi le marteau », « peux-tu m’aider à… », « qui met le site à jour ? ». C’est une manière d’échanger avec des personnes pour obtenir un résultat, un bénéfice, une production ou une concrétisation au travail, en famille, etc. Les jeux psychologiques. La personne établit des séquences relationnelles où la relation et ses échanges avec l’autre sont très intenses, récurrents et génèrent beaucoup de stimulations, mais aussi, où la fin est prévisible et négative. L’intimité. La personne établit une relation sincère exempte de jeux psychologiques. Les interlocuteurs échangent sur ce qu’ils ressentent, et s’impliquent (joie, tristesse…). C’est le mode de communication qui demande de se livrer, de montrer ses forces, ses faiblesses, sa vulnérabilité. L’échange est direct et spontané. Cette structuration du temps est rare, de courte durée, et de grande intensité. [/et_pb_text][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2020/09/AT2.png » align= »center » _builder_version= »4.3.4″ module_alignment= »center »][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version= »4.3.4″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_3_font= »|300||||||| » header_3_text_color= »#e09900″ header_3_font_size= »23px » text_orientation= »justified » custom_padding= »|6%||6%|false|false » border_radii= »on|1px|1px|1px|1px » border_width_all= »1px » border_color_all= »#000000″] LES ÉTATS DU MOI   Un état du moi est un ensemble cohérent de pensées et sentiments qui se manifestent dans un comportement. Le concept des « états du moi ». Après avoir observé de nombreux patients, il postule que chaque personne a 3 états du moi : le Parent, l’Adulte, l’Enfant. Nous les écrivons avec une majuscule pour les distinguer du parent,

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Des défis à relever

Maitriser son temps de travail et son organisation ( Partie 3)

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_row _builder_version= »4.16″ custom_padding= »13px||5px||| » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#ffffff » header_font_size= »26px » background_color= »RGBA(255,255,255,0) » text_orientation= »justified » custom_margin= »0px||||false|false » custom_padding= »30px|36px||20px|false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″] Les avantages cachés d’une mauvaise gestion du temps   Une mauvaise gestion du temps nous procure de nombreuses satisfactions et frustrations. Pourtant, paradoxalement, mal gérer son temps donne des petits avantages qui sont autant de résistances à l’amélioration de sa gestion du temps. La reconnaissance (des autres, de soi-même) Etre souvent a la course, partir tard le soir, arriver tôt le matin, arriver en retard aux réunions, se rendre indispensable, se faire déranger en entretien ou en réunion sont autant de façon d’être reconnu des autres. Par la suractivité, le cadre veut attirer l’attention et confirmer aux autres (et à lui-même) son importance en donnant une image d’homme d’action. La fuite (de soi, des autres, d’activités non souhaitées) La surcharge dans le travail quotidien est l’excuse que nous donnons (et que nous donnons aux autres) pour fuir les situations psychologiquement désagréables. L’hyperactivité nous permet de ne pas avoir à dire : « Non, je ne veux pas faire ce travail » en mettant en avant l’excuse du « Non je ne peux pas ». En étant débordé, nous pouvons esquiver les interlocuteurs inopportuns, les problèmes familiaux, les activités non souhaitées parce que trop complexes ou peu enrichissantes ou qui remettent en question ce que nous avons toujours fait. Dans ce cas, le « je voudrais bien, mais je n’ai pas le temps » nous évite bien des contraintes ou des remises en causes. Les sensations fortes Le stress fait battre le cœur plus vite, l’angoisse tient éveillé. La pression des évènements, rattraper le temps perdu, avoir deux rendez-vous en même temps sont de vrais plaisirs pour les amoureux de sensations fortes. Face à ce constat, il est essentiel de repérer nos avantages caches avant d’entreprendre des améliorations dans la façon de gérer notre temps. Pour cela, il convient : D’identifier les situations courantes caractéristiques d’une mauvaise gestion du temps De définir ce qui se passe pour nous dans ce cas De repérer les avantages caches qu’induit la situation   [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.16″ custom_padding= »8px||7px||| » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#ffffff » header_font_size= »26px » background_color= »RGBA(255,255,255,0) » text_orientation= »justified » custom_padding= »|26px||18px|false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″ border_width_all= »1px »]    Les critères de l’affectation du temps Face au nombre important des taches à réaliser, il n’est pas toujours aise de définir celle par laquelle nous allons commencer. Chaque jour, de manière voulue ou pas, face à la possibilité d ‘entreprendre plusieurs activités, nous sommes dans l’obligation de choisir, c’est-à-dire de hiérarchiser nos activités, d’établir des priorités. Quels sont les critères qui déterminent nos priorités ? Comment s’opère la décision de l’affectation de notre temps ? Ce que vous pouvez constater en y réfléchissant quelques instants, c’est que les critères qui prévalent à nos choix sont loin d’être totalement rationnels mais lies également à des choix affectifs et subjectifs tels que nos humeurs, nos habitudes, nos valeurs et croyances, nos aspirations et modèles, les normes et les règles en usages dans notre organisation. Sans en être pleinement conscient, nous changeons de critères sur des périodes relativement brèves et mélangeons plusieurs critères pour réaliser cette sélection. Ces critères qui déterminent nos choix sont : l’importance de la tâche à réaliser l’urgence Mais aussi l’habitude (ce qui est courant est souvent traité prioritairement) l’attrait (nous réalisons selon nos goûts d’abord ce qui nous plaît ou d’abord ce qui nous déplaît) la durée (nous avons tendance à faire d’abord ce qui va vite que ce qui prend du temps) l’échéance (plus l’échéance de la tâche est lointaine, plus nous avons coutume de la retarder) la date d’entrée dans notre « stock de choses à faire » (soit nous traitons en premier ce qui est dans notre stock depuis longtemps, soit nous prenons en compte l’activité la plus récemment entrée en stock) la difficulté (plus la tâche est complexe, plus nous la remettons la nature (nous prisions les activités entraînant l’action plutôt que les tâches de réflexion)   [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.16″ background_color= »#88c4dd » custom_padding= »|||17px|false|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_2_font= »|300||||||| » header_2_text_color= »#ffffff » header_2_font_size= »20px » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″] Loi de Laborit : L’individu va spontanément vers ce qui est facile et/ou qui lui procure du plaisir…et s’arrange pour fuir et repousser ce qui lui paraît difficile ou lui procure du plaisir Chacun d’entre nous a ses propres critères de choix pour l’affectation de son temps. Il est essentiel, pour une gestion du temps optimale, d’identifier son mode de programmation pour privilégier l’importance et l’urgence des activités à traiter sans pour autant rejeter totalement les autres critères. Liste des principaux facteurs de perte de temps 1.    L’absence des priorités 2.    Les réunions 3.    Les visiteurs imprévus 4.    L’encombrement du bureau 5.    Remettre au lendemain 6.    Le patron 7.    Le téléphone 8.    La gestion des crises 9.    La délégation inefficace 10.  L’incapacité de dire non Connaître l’utilisation de son temps Comme il est bon de temps à autre de se poser la question « comment je dépense mon argent ? », il est important de savoir à quoi vous dépensez votre temps. Disposer de ces informations est préalable pour, par la suite, poser un diagnostic, apporter des améliorations et mesurer les progrès réalisés. L’observation de l’utilisation de son temps Un support simple peut vous y aider : la fiche de relevé d’activité journalière. Cette fiche comporte : une colonne « horaire » où sont notes les heures de début des tâches Une colonne « activité » où sont décrites sommairement les tâches réalisées (toutes les tâches quelles que soient leurs natures et leurs durées. Quelques conseils facilitant son utilisation Noter les activités et leurs horaires de début au fur et à mesure de leur réalisation. Si vous tentez de reconstituer votre emploi du temps au terme de la journée, vous risquez les oublis et des erreurs d’évaluation des durées. Vous avez certainement constaté, le temps consacre au travail que vous aimez faire, semble passer plus vite que celui consacre à une activité que vous n’appréciez pas ; De ce fait, votre estimation peut être fausse pas votre subjectivité. Loi de Fraisse : Le temps possède une dimension psychologique qui est en

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Des défis à relever

Maitriser son temps de travail et son organisation ( Partie 2)

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_row _builder_version= »4.16″ custom_padding= »11px||6px||| » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#ffffff » header_font_size= »26px » background_color= »RGBA(255,255,255,0) » text_orientation= »justified » custom_margin= »0px||||false|false » custom_padding= »23px|31px||20px|false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » border_width_all= »1px » sticky_enabled= »0″] Les risques d’échec Mieux gérer son temps suppose une remise en cause de nos modèles de programmation, de nos activités ainsi que la constitution d’un capital de nouvelles habitudes, donc un changement et un apprentissage. Chacun développe des attitudes de résistance, des mécanismes de défense qui peuvent conduire à l’échec, il faut en prendre conscience pour pouvoir tenir compte avant d’engager le changement. Parmi les mécanismes les plus fréquents :   Rêver des modifications plutôt qu’agir « Vouloir tout maintenant»plutôt que préférer « la politique des petits pas » en tenant compte des difficultés de tout changement de comportement et du temps nécessaire pour instituer et tester de nouvelles normes et modifier nos attitudes. Nier l’intérêt, rejeter les bénéfices par peur de l’inconnu et des difficultés ; Se laisser décourager par la baisse d’efficacité en phase d’apprentissage des nouvelles méthodes sans se donner le temps de les intégrer comme l’illustre la figure 1 Développer des freins à votre engagement, des alibis : « J’ai toujours fait comme cela. » « J’ai déjà essayé. » « Je ne peux pas faire autrement. » « Ce n’est pas le moment. » « Ce n’est pas moi qui décide. » « Dans mon entreprise, c’est particulier.    Surinvestir dans des activités traditionnelles et reporter la mise en œuvre des améliorations. Attendre des trucs, des recettes, des méthodes toutes faites sans avoir à s’impliquer, à remettre en cause ses priorités. Auto justifier a posteriori les comportements non conformes aux nouveaux principes et méthodes décidées. Passer plus de temps à analyser qu’à agir.     [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.16″ custom_margin= »0px||||false|false » custom_padding= »0px||28px||| » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2020/07/time.jpg » _builder_version= »4.25.1″ hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » custom_padding= »||1px||| » min_height= »536px » sticky_enabled= »0″][/et_pb_image][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#e09900″ header_font_size= »26px » background_color= »#d6d6d6″ text_orientation= »justified » custom_margin= »3px||6px|-43px|false|false » custom_padding= »22px|16px||8px|false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″] Comment réussir ? La réussite de l’action que vous allez engager dépendra  de vous. 8 clés vous permettront de concrétiser cette réussite : Votre capacité de découvrir vos objectifs de changement. Votre volonté de mener jusqu’à son terme votre projet, de prendre conscience du temps que vous gaspillez ou que vous sous-utilisez. Votre ouverture et votre capacité d’adaptation Votre lucidité pour remettre en question sans complaisance vos habitudes et vos certitudes, Votre créativité pour adapter les outils qui vous seront proposés et établir vos propres règles Votre réalisme : ne pas vouloir tout de suite ; remettre souvent en question vos méthodes et vos priorités Votre capacité à vendre aux autres vos nouvelles règles Votre engagement à ne pas commettre d’entorse par rapport aux nouvelles règles avant qu’elles ne soient totalement intégrées. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.16″ custom_margin= »-31px|auto||auto|| » custom_padding= »8px||11px||| » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_font= »|300||||||| » header_text_color= »#ffffff » header_font_size= »26px » header_2_font= »|300|on|||||| » header_2_text_color= »#e02b20″ header_2_font_size= »24px » background_color= »RGBA(255,255,255,0) » text_orientation= »justified » custom_margin= »23px||||false|false » custom_padding= »25px|40px||18px|false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » border_width_all= »1px » sticky_enabled= »0″] Se connaître soi-même dans sa relation au travail et au temps Il s’agit de mieux se connaître afin d’agir en tenant compte des éléments qui composent votre personnalité.   Les différents messages contraignants de l’Analyse Transactionnelle et la Gestion du temps   L’Analyse Transactionnelle est née en 1958 aux U.S.A. mise au point par le Dr Eric BERNE. Définition : Une philosophie qui offre une certaine vision de l’être humain Puis un ensemble de théories sur la personnalité de l’individu : Son fonctionnement psychique, Ses relations inter-personnelles, Son comportement et son développement. Enfin, un ensemble de procédures et de techniques visant à permettre à la personne de changer les aspects de sa vie. L’Analyse Transitionnelle et les messages contraignants décrit des comportements stéréotypés que, chaque personne a acquis au cours de sa vie et qu’il reproduit lors de situations complexes. Ces messages peuvent être négatifs ou positifs, chacun d’entre eux induit des comportements différents dans la façon d’appréhender le temps. Quels sont ces messages ? : (les cinq les plus courants) Sois parfait ! Sois fort ! Dépêche-toi ! Fais des efforts ! Fais plaisir ! Les comportements sont différents d’après la façon d’appréhender le temps. Mais il est possible de remplacer un message négatif par un positif et donc de se donner des principes et des permissions adaptées ceci afin d’obtenir des résultats satisfaisants en matière de gestion du temps. Les messages positifs correspondants seront : Sois réaliste ! Sois ouvert ! Gère ton temps ! Réussis ce que tu entreprends ! Pense aussi à toi ! [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.25.1″ background_color= »#88c4dd » custom_margin= »|||0px|false|false » custom_padding= »16px||0px|13px|false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.25.1″ text_font= »|300||||||| » text_text_color= »#000000″ header_2_font= »|300||||||| » header_2_text_color= »#ffffff » text_orientation= »justified » min_height= »600px » custom_padding= »15px||0px||false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » sticky_enabled= »0″ width= »100% »] La grille générale de structuration du Temps Avec l’analyse transactionnelle, nous avons une typologie pour identifier à quoi nous passons notre temps. La grille du temps présente cinq moments différents : Retrait : la coupure avec les autres, aussi physique que mentale. Rituels : les moments d’échanges prévus, faciles et répétitifs. Passe-temps : les relations qui permettent de communiquer sans risque, de façon quasi-prévisible. L’activité : elle est dirige vers une tache, un objectif à atteindre dans son travail. Relations intenses : elles représentent une communication forte, des relations enrichissantes. Nous pouvons alors voir comment se reparti le temps entre ces cinq moments puis engager des modifications. Chaque moment présente des aspects positifs et des aspects négatifs. Aussi faudra-t-il mieux transformer les négatifs en positifs car s’il n’y a pas de gain de temps en valeur absolue il y aura gain en efficacité. A suivre … [/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.16″ global_colors_info= »{} »][et_pb_image src= »https://blog.masterformation.gf/wp-content/uploads/2019/04/32744207_1569609359831429_3081694409893347328_n.jpg » _builder_version= »4.25.1″ custom_padding= »78px|14px|||false|false » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » title_text= »32744207_1569609359831429_3081694409893347328_n » sticky_enabled= »0″ custom_margin= »||52px||| »][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

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